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1000 personnes de l'histoire japonaise -- Takashi Hara
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Takashi Hara (1856-1921)
(1000 personnes célèbres de l'histoire du Japon p. 196)
"Du journalisme à la bureaucratie, il participa dans l'association de l'établissement de la constitution du Japon."
Le premier cabinet du gouvernement composé des politiciens de partis politiques fut né en 1918, après l'effondrement du cabinet du Premier Ministre Terauchi Masatake pendant que les émeutes du riz. Hara Takashi devint le Premier Ministre. Il fut appelé "Routier et Premier Ministre."
Jusqu'à ce temps, aucun cabinet ne fut composé des hommes de partis politiques. Tout fut aristocrates. Pourtant, Hara fut définitevement différent des autres Premiers Ministres auparavant. Il ne fut pas né dans un "Hanbatsu" [un des peu de régions du Japon, pour la plupart du sud-ouest dans les régions de Satsuma et de Choshu, dont les cliques puissantes contrôlèrent le gouvernement impériale.] Il ne fut pas aristocrate. Il fut politicien qui tint un siège dans l'assemblée nationale, mais quand même devint Premier Ministre.
Il fut né dans la région de Nanbu [actuellement Iwate préfecture dans le nord-est], une des provinces soi-disant "Chouteki" -- "l'ennemi de l'empereur." C'est-à-dire ce fut un bastion de l'ennemi pendant la guerre "Boshin" -- une guerre lutée entre les forces impériales concentrées dans Satsuma et Choshu, contre les forces du Shogun Tokugawa à la fin de l'ère féodale. Il semble que la honte d'être né dans une telle région mena Hara de résister le contrôle du gouvernement par "l'Hanbatsu."
En 1879 (le 12ème année de l'ère Meiji) Il commença par travailler pour le journal "Yuuhoch-Shinbun" comme journaliste. Pourtant, parce qu'il fut d'un "Chouteki" il fut marginalisé par le Hanbatsu et donné une sinécure. Sa vie changea quand il rencontra le Ministre des Affaires Étrangères, Mutsu Minemitsu. Mutsu, qui ne fut pas du "Hanbatsu" non plus, soutena Hara et le fit fonctionnaire dans le Ministre. Il fut reconnaissant à Mutsu pour le reste de sa vie. Lorsque Mutu mourut, Hara se démissionna du ministère.
Ensuite, pendant deux ans il travailla encore comme journaliste, puis il décida de devenir politicien. En 1900 comme politicien il participa dans la création du "Rikken Seiyukai" [l'un des premiers partis politiques de l'ère moderne japonais.] Pendant la première "Goken-undo" [un mouvement mené par politiciens et par citoyens qui voulurent un gouvernement constitutionnel] Hara, qui ne fut pas aristocrate ou du Hanbatsu, fut nommé Prime Ministre. Il fut appelé "Le Prime Ministre du peuple."
La réputation de Hara fut très haut et il devint très populaire parmi les citoyens. Pourtant, le faction de Hanbatu eut habilement permis l'entrée de Hara dans le cabinet pour mieux neutraliser les forces antigouvernemental dans le pays. Il sembla premièrement que Hara Takashi fut influencé par la voix du peuple, mais en effet il réprima les mouvements des travailleurs et d'autres qui soutenu une loi pour le suffrage universel. Il mena son cabinet habilement et avec succès, mais il ne contribua pas au démocratisation du gouvernement. Parce qu'il fut contre la loi pour le suffrage universel, son image grandement souffrit et son cabinet perdit de plus en plus le soutien du peuple. En 1921 (le deuxième année de l'ère Taisho) au gare de Tokyo, Hara fut attaqué par Nakaoka Konnichi, de 19 ans, qui lui fit un coup de couteau dans la poitrine. Hana mourut instamment. Il est dit que son assassin fut mécontent par les politiques partisans dans le gouvernent, mais ce n'est pas entièrement clair, quoi c'était son motif. Après le mort de Hara à nouveau le cabinet du Prime Ministre retourna au contrôle du Hanbatsu.
(1000 personnes célèbres de l'histoire du Japon p. 196)
"Du journalisme à la bureaucratie, il participa dans l'association de l'établissement de la constitution du Japon."
Le premier cabinet du gouvernement composé des politiciens de partis politiques fut né en 1918, après l'effondrement du cabinet du Premier Ministre Terauchi Masatake pendant que les émeutes du riz. Hara Takashi devint le Premier Ministre. Il fut appelé "Routier et Premier Ministre."
Jusqu'à ce temps, aucun cabinet ne fut composé des hommes de partis politiques. Tout fut aristocrates. Pourtant, Hara fut définitevement différent des autres Premiers Ministres auparavant. Il ne fut pas né dans un "Hanbatsu" [un des peu de régions du Japon, pour la plupart du sud-ouest dans les régions de Satsuma et de Choshu, dont les cliques puissantes contrôlèrent le gouvernement impériale.] Il ne fut pas aristocrate. Il fut politicien qui tint un siège dans l'assemblée nationale, mais quand même devint Premier Ministre.
Il fut né dans la région de Nanbu [actuellement Iwate préfecture dans le nord-est], une des provinces soi-disant "Chouteki" -- "l'ennemi de l'empereur." C'est-à-dire ce fut un bastion de l'ennemi pendant la guerre "Boshin" -- une guerre lutée entre les forces impériales concentrées dans Satsuma et Choshu, contre les forces du Shogun Tokugawa à la fin de l'ère féodale. Il semble que la honte d'être né dans une telle région mena Hara de résister le contrôle du gouvernement par "l'Hanbatsu."
En 1879 (le 12ème année de l'ère Meiji) Il commença par travailler pour le journal "Yuuhoch-Shinbun" comme journaliste. Pourtant, parce qu'il fut d'un "Chouteki" il fut marginalisé par le Hanbatsu et donné une sinécure. Sa vie changea quand il rencontra le Ministre des Affaires Étrangères, Mutsu Minemitsu. Mutsu, qui ne fut pas du "Hanbatsu" non plus, soutena Hara et le fit fonctionnaire dans le Ministre. Il fut reconnaissant à Mutsu pour le reste de sa vie. Lorsque Mutu mourut, Hara se démissionna du ministère.
Ensuite, pendant deux ans il travailla encore comme journaliste, puis il décida de devenir politicien. En 1900 comme politicien il participa dans la création du "Rikken Seiyukai" [l'un des premiers partis politiques de l'ère moderne japonais.] Pendant la première "Goken-undo" [un mouvement mené par politiciens et par citoyens qui voulurent un gouvernement constitutionnel] Hara, qui ne fut pas aristocrate ou du Hanbatsu, fut nommé Prime Ministre. Il fut appelé "Le Prime Ministre du peuple."
La réputation de Hara fut très haut et il devint très populaire parmi les citoyens. Pourtant, le faction de Hanbatu eut habilement permis l'entrée de Hara dans le cabinet pour mieux neutraliser les forces antigouvernemental dans le pays. Il sembla premièrement que Hara Takashi fut influencé par la voix du peuple, mais en effet il réprima les mouvements des travailleurs et d'autres qui soutenu une loi pour le suffrage universel. Il mena son cabinet habilement et avec succès, mais il ne contribua pas au démocratisation du gouvernement. Parce qu'il fut contre la loi pour le suffrage universel, son image grandement souffrit et son cabinet perdit de plus en plus le soutien du peuple. En 1921 (le deuxième année de l'ère Taisho) au gare de Tokyo, Hara fut attaqué par Nakaoka Konnichi, de 19 ans, qui lui fit un coup de couteau dans la poitrine. Hana mourut instamment. Il est dit que son assassin fut mécontent par les politiques partisans dans le gouvernent, mais ce n'est pas entièrement clair, quoi c'était son motif. Après le mort de Hara à nouveau le cabinet du Prime Ministre retourna au contrôle du Hanbatsu.
"Du journalisme à la bureaucratie, il participa à l'établissement de la constitution du Japon."
Le premier cabinet du gouvernement composé de politiciens de partis politiques naquit en 1918, après l'effondrement du cabinet du Premier ministre Terauchi Masatake pendant que les émeutes du riz.
Hara Takashi devint alors le Premier ministre.
On l'appela "routier et Premier ministre."
Jusqu'à cette époque, aucun cabinet n'avait encore été composé d'hommes de partis politiques.
Tu parles d’un passé dans un passé, il faut donc du plus-que-parfait.
Tous étaient aristocrates.
Pourtant, Hara était complètement différent des autres précédents Premiers ministres.
Il n'était pas né dans un "Hanbatsu" [une des quelques régions du Japon, pour la plupart du sud-ouest dans les régions de Satsuma et de Choshu, dont les cliques puissantes contrôlaient le gouvernement impérial.
Je ne suis pas sûr que « clique » convienne, mais je ne sais pas de quoi tu parles.
] Il n'était pas aristocrate.
Il était politicien et tenait un siège dans l'assemblée nationale, mais devint quand même Premier ministre.
Il naquit dans la région de Nanbu [actuellement préfecture d'Iwate dans le nord-est], une des provinces soi-disant "Chouteki" -- "ennemie de l'empereur." C'est-à-dire que c'était un bastion de l'ennemi pendant la guerre "Boshin" -- une guerre lutée entre les forces impériales concentrées dans Satsuma et Choshu, et les forces du Shogun Tokugawa à la fin de l'ère féodale.
Il semble que la honte d'être né dans une telle région mena Hara à résister au contrôle du gouvernement par le "Hanbatsu."
En 1879 (la 12e année de l'ère Meiji), il commença par travailler pour le journal "Yuuhoch-Shinbun" en tant que journaliste.
Malheureusement, comme il venait d'un "Chouteki", il fut marginalisé par le Hanbatsu et on lui donna une sinécure.
Sa vie changea quand il rencontra le ministre des Affaires étrangères, Mutsu Minemitsu.
Mutsu, qui n’était pas du "Hanbatsu" non plus, soutena Hara et le nomma fonctionnaire dans ce ministère.
Lorsque Mutsu mourut, Hara se démissionna du ministère.
Ensuite, pendant deux ans il continua à travailler comme journaliste, puis il décida de devenir politicien.
« Encore » exprime la répétition.
En 1900, en tant que politicien il participa à la création du "Rikken Seiyukai" [l'un des premiers partis politiques de l'ère moderne japonaise.
Note la virgule ajoutée au début.
] Pendant la première "Goken-undo" [un mouvement mené par des politiciens et par des citoyens qui voulaient un gouvernement constitutionnel] Hara, qui n'était pas aristocrate ou de Hanbatsu, fut nommé Premier ministre.
Il fut appelé "Le Premier ministre du peuple."
Hara eut une excellente réputation et il devint très populaire auprès des citoyens.
Sinon, haut → haute.
Pourtant, le faction de Hanbatu avait habilement permis l'entrée de Hara dans le cabinet pour mieux neutraliser les forces antigouvernementales dans le pays.
Au début, il semblait que Hara Takashi était influencé par la voix du peuple, mais en fait il réprima les mouvements des travailleurs et d'autres qui soutenaient une loi pour le suffrage universel.
« En effet » doit être utilisé pour appuyer, confirmer, étayer ce qui est dit avant. Or ici, on veut affirmer l’opposé de ce qui est dit avant.
Il mena son cabinet habilement et avec succès, mais il ne contribua pas à la démocratisation du gouvernement.
Vu qu'il était contre la loi pour le suffrage universel, son image souffrit grandement et son cabinet perdit de plus en plus le soutien du peuple.
En 1921 (la deuxième année de l'ère Taisho) à la gare de Tokyo, Hara fut attaqué par Nakaoka Konnichi, de 19 ans, qui lui donna un coup de couteau dans la poitrine.
Ou bien : Nakaoka Konnichi, âgé de 19 ans, …
Hana mourut sur le coup.
Sinon, on écrit « instantanément ».
Il est dit que son assassin était hostile aux hommes politiques partisans dans le gouvernent, mais son motif n'est pas tout à fait clair.
« Mécontent » est un mot très légé et soutenu. Par exemple, je suis mécontent si la nourriture dans un restaurant est mauvaise. Il ne convient pas pour parler d’un assassinat.
Après le mort de Hara, le cabinet du Premier ministre retourna sous le contrôle du Hanbatsu.
Pas mal ! Mais la prochaine fois tu peux peut-être séparer ton journal en plusieurs petits journals, parce que c’est long et fastidieux à corriger.
Les erreurs sont en bleu gras, et les améliorations (choses correctes et compréhensibles mais jamais utilisées ainsi en français) sont en bleu normal.
Quelques remarques :
Tu as utilisé du passé antérieur et du passé simple un peu partout, mais à beaucoup d’endroits il fallait de l’imparfait. C’est important de bien faire la différence. Le passé simple s’emploie lorsque l’action est datée (par exemple « En 1900… »), soudaine, précise, terminée, courte (« lui donna un coup de couteau »). L’imparfait, c’est pour une action sans véritable début ni fin, une situation sans durée (« Il était politicien et tenait un siège », « c'était un bastion de l'ennemi »). Mes corrections devraient te donner une idée de comment faire le bon choix. Voici aussi un lien qui explique un peu : http://leconjugueur.lefigaro.fr/frimp_ps_emploi.php
Je n’ai pas corrigé tes crochets [], mais partout où tu en as mis, il fallait des parenthèses () à la place. En français, les crochets servent uniquement à mettre dans une citation des mots qui ne sont pas de l’auteur. Par exemple : un peu plus haut, j’ai écrit « partout où tu en as mis [des crochets], il fallait des parenthèses ». Cela permet d’expliciter une citation sans la modifier directement.
J’ai changé tes « Prime Ministre » en « Premier ministre » car pour moi ça n’a pas de sens : tu mélanges un mot anglais et un mot français. Soit tu écris « Prime Minister », soit « Premier ministre », non ?